Dans un coin de livre, j'ai lu un jour à propos de Gisèle Freund, que faire des photos couleurs coutait horriblement cher, la pellicule et le tirage. Il y avait donc très peu de prises. A chaque fois que je regarde une photo qu'elle a prise, je pense à la mise en scène qu'elle a dû organiser pour saisir ces instants uniques, une fraction de seconde pour l'éternité.
Gisèle Freund: "Simone de Beauvoir", 1952
Gisèle Freund: "Simone de Beauvoir", zurück aus China, ca, 1955
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